La situation de la santé des citoyens en Iran a empiré. Depuis la deuxième vague de COVID-19 les personnes défavorisées n’ont plus accès aux services médicaux. Selon le Ministre de la santé, jusqu’à aujourd’hui plus de 35000 personnes sont décédées à cause du Covid -19, mais pour des raisons politiques et de censure de la part du gouvernement iranien, le public croit que ce chiffre n’est pas fiable et qu’il faut le tripler pour trouver  le vrai taux de mortalité. D’après l’adjoint du Ministre de la santé 50 % des malades qui entrent en réanimation meurent. Mais cela n’est pas tout l’histoire. Selon des personnes  interviewées, l’accès à l’hôpital est très difficile et coûte extrêmement cher. Selon notre témoin, pour avoir accès à l’hôpital il faut être connecté aux personnes puissantes dans le gouvernement ou il faut dépenser  beaucoup d’argent pour y avoir accès. En outre, les médicaments sont très rares et difficiles à trouver. Si une personne a une ordonnance il devrait dépenser beaucoup d’argent pour les trouver au marché noir parce que le gouvernement iranien n’accepte aucune responsabilité par rapport à ses citoyens.